Missionnaire jésuite, il s’embarque pour la Chine en 1758 et y résidera jusqu’à sa mort, s’occupant de la congrégation du Saint-Sacrement de Pékin.

Femme de lettres, collaboratrice de Rodin pour qui elle consacre toute son énergie.

Peintre et décorateur, orientaliste, il a décoré l’Opéra de Paris.

Le plus grand ténor de son époque. Il crée presque tous les grands rôles de la fin de l’Ancien régime.

Violoniste et compositeur de contredanses, élève de Capron.

Comédienne britannique.

Sénateur (1800), l’un des fondateurs de l’Ecole normale, il fut enlevé par les agents de Fouché, rocambolesque histoire qui inspira à Balzac l’intrigue d’une Ténébreuse affaire.

Lithographe, aquarelliste et architecte ; il a illustré Les Voyages dans l’ancienne France, Paris dans sa splendeur, le Tour du monde, etc.

Sculpteur, gendre de George Sand.

Naturaliste et anatomiste.

Journaliste et critique littéraire monarchiste, dont l’influence fut forte sur la NRF de Jacques Rivière et André Gide.

Erudit, archiviste-paléographe, conservateur de la Bibliothèque Mazarine.

Architecte et archéologue anglais, il découvre, à Egine, les groupes qui ornaient les frontons du temple d’Athéna (1811).

Ecrivain et poète jansénisme, principal du collège de Beauvais à Paris (1712), recteur de l’Université de Paris (1718), auteur d’une Ode sur le vin de Champagne.

Général, gentilhomme d’honneur de Madame Elisabeth, père de la “Jeune captive”, Aimée de Coigny, muse d’André Chénier.

Maréchal de France (1816), il rejoint l’armée des Princes, en 1791, et participe aux opérations contre-révolutionnaires.

Lieutenant général, fils du maréchal, il avait participé à la guerre d’Indépendance américaine.

Médecin suisse, médecin en chef de l’hôpital de Genève.

Cantatrice espagnole (mezzo-soprano), première épouse de Rossini ; elle a créé nombre de rôles du compositeur.

Historien et liturgiste normand, prêtre au diocèse de Rouen.

Archéologue, il s’est surtout intéressé aux antiquités grecques.

Auteur dramatique, membre de l’Académie française.

Naturaliste, erpétologiste et diplomate, auteur d’ouvrages sur les reptiles, batraciens et lézards ; il fut aussi le premier ambassadeur de France en Corée du Sud.

Archéologue lyonnais, conservateur des musées archéologiques de Lyon (1840), membre de l’Académie de Lyon, il avait réuni d’importantes collections archéologiques sur sa province. S’écrit aussi Commarmond.

Critique et historien d’art.

Homme politique radical et anticlérical, président du Conseil (1902-1905), il mène une lutte qui conduit à la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat.

Entomologiste américain, chef au ministère de l’agriculture.

Philosophe et mathématicien, l’un des fondateurs de la sociologie, père du positivisme.

Médecin personnel de Napoléon III, député de la Somme.

Peintre orientaliste, il est l’un des portraitistes favoris de la haute société britannique à la fin du XIXe siècle. Membre de l’Académie des Beaux-arts.

Personnage influent du milieu théâtral de la première moitié du XXe siècle, il participe à la création de la NRF, et fonde, en 1913, le Théâtre du Vieux-Colombier.

Mathématicien, chargé par le Comité de salut public de s’occuper des travaux pour l’établissement du nouveau système de poids et mesures.

Bibliophile et numismate, premier président du Conseil souverain d’Alsace à Colmar, il voyagea en Laponie avec le poète Régnard (1681).

Ministre de l’Intérieur (1821-1828).

Abbé et archéologue, fondateur de la Revue de l’Art chrétien et membre de la Société des antiquaires de Picardie.

Jésuite, théologien et bibliste belge.

Haut-commissaire de la République en Afrique équatoriale française (1948-1951) puis, en Afrique occidentale française (1951-1956), il sera ensuite député, ministre et maire de Cannes.

Ministre des Finances de Louis XVIII (1815-1818).

Peintre breton, figuratif, puis abstrait.

Vice-amiral, il participa au voyage de circumnavigation de Dumont-d’Urville sur la Zélée.